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 Chronologie de l'Orphelinat

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Cecil Warlen
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Cecil Warlen


Messages : 7
Date d'inscription : 27/12/2013

Chronologie de l'Orphelinat Empty
MessageSujet: Chronologie de l'Orphelinat   Chronologie de l'Orphelinat Mini-h10Sam 28 Déc - 15:39

1852


Cecil Warlen, une habitante du village qui ne s'était jamais démarquée par une action quelconque, décide d'ouvrir un orphelinat. Elle rachète le manoir au sommet de la colline Est, abandonné depuis la mort de son dernier propriétaire, tué à l'âge de 24 ans et sans héritier dans sa propre demeure. Les travaux de rénovation durent 8 mois, durant lesquels Cecil accueille les premiers orphelins qu'elle trouve dans sa modeste maison, avec la promesse de leur offrir un meilleur toit une fois les travaux terminés.

L'orphelinat ouvre enfin, le 22 août 1852, et compte alors une trentaine d'orphelins. Si le projet de Cecil fut vivement critiqué les mois précédant cette date, sa ténacité et son engagement forcèrent les mauvaises langues à se taire. Pour les pensionnaires, pour la plupart recueillis alors qu'ils erraient dans les rues, c'est la possibilité d'une vie plus douce, avec un toit, un lit et des repas chauds.

1862


L'orphelinat emploie désormais 12 surveillants et compte 78 pensionnaires. Sous le contrôle ferme de Cecil, l'établissement jouit désormais d'une réputation solide et attire les couples sans enfants, offrant à plusieurs orphelins une nouvelle famille. Malheureusement, il retrouve également régulièrement des enfants de tout âge abandonnés sur son seuil, et Cecil est contrainte d'engager du personnel adéquat.

1913


Cecil Warlen meurt, à l'âge respectable de 83 ans. L'orphelinat accuse le coup grâce à sa fortune, qu'elle lui a entièrement reversé, mais la perte de leur mère de substitution touche fortement orphelins et personnel. Tout l'établissement est en deuil.

8 mois après la mort de Cecil, en hommage, l'orphelinat est renommé Sainte-Cecil et l'ancien nom, complètement abandonné, tombe peu à peu dans l'oubli.

1918


L'orphelinat, bien qu'ayant surmonté la perte de sa fondatrice, a difficilement supporté la guerre. Plusieurs enfants ont été "adoptés" par des soldats pour les envoyer au front, et l'établissement renforce la procédure d'adoption.

La fin de la guerre marque également le retour des soldats, et maintes familles se retrouvent dénuées d'un patriarche. Beaucoup de mères ne peuvent assumer leurs enfants seules et les abandonnent avant de fuir la ville. L'orphelinat est contraint d'engager du personnel et ses financent s'en porte de plus en plus mal, malgré l'héritage de Cecil.

1920


La direction de l'orphelinat est reprise par Nathan Fonel, un riche entrepreneur qui prétend pouvoir sauver l'établissement. Pour cela, il met sa fortune au service de Sainte-Cecil et entreprend de changer les règles des lieux, commençant par licencier du personnel. Dix surveillants se retrouvent ainsi mis à la porte.

1938


Nathan est retrouvé mort dans un escalier. La police se charge de l'enquête et découvre alors les abus du directeur, dénoncés mais ignorés par les orphelins depuis des années : détournement des dons adressés à l'établissement, abus et mauvais traitement sur les orphelins, exploitation et même vente de ces derniers. Le policier chargé de l'enquête décide de retenir la thèse de l'accident, la canne de Mr Fonel n'étant pas présente sur le lieu de sa mort.

Nathan n'ayant ni testament ni descendants, sa fortune revient à Sainte-Cecil, lui offrant la possibilité de remonter la pente.

1946


Sainte-Cecil sort de la Seconde Guerre mondiale en meilleure santé que de la Première, mais a dû parer à des tentatives d'utilisation de ses pensionnaires bien plus violentes. Certains villageois aux maisons dévastées se sont vu accueillir par l'établissement, et une forme de solidarité en sortit, de sorte que l'Etat ne put tenter d'envoyer des orphelins au combat à nouveau. Des liens entre habitants désœuvrés et pensionnaires se formèrent, et entraînèrent plusieurs adoptions à la sortie de la guerre.

1981


L'orphelinat voit plusieurs changements, dans le personnel et la direction, modifier ses règles et son fonctionnement. L'établissement ne compte alors plus qu'une quarantaine de pensionnaires et une poignée de surveillants, qui peinent à s'adapter aux règlement changeant des lieux. Ces mouvements de personnel prennent fin au bout de 6 mois, avec l'arrivée à la direction d'Albert Pheret. Ce dernier reprend en main Sainte-Cecil et s'occupe de remodeler son personnel, s'intéressant aux employés cas par cas.

1996


Plusieurs cas de disparition ébranlent la ville toute entière. Les parents disparus laissent pour la plupart des orphelins, en général confiés à Sainte-Cecil. La police décide d'ouvrir une enquête mais cette dernière ne mène nul part.

2013


Albert Pheret est toujours à la tête de l'établissement, qui ne désemplit pas en raison des disparitions qui continuent de survenir. L'orphelinat conserve malgré tout une réputation solide, bien qu'en interne, des histoires circulent entre les résidents : des fantômes, des évènements inexpliqués se seraient offerts à la vue de certains orphelins. Ceux qui y auraient assisté ont tenté d'en parler au personnel, mais ce dernier les aurait ignorés, et ces pensionnaires auraient finis par disparaître après avoir été étrangement "adoptés". L'orphelinat Sainte-Cecil n'a pas terminé de faire parler de lui.


Histoire et codage ©Akane pour Sainte-Cecil.
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